Une soirée interminable, quatre heures 30 à être assis, beaucoup trop long. Le programme constamment chamboulé, la séance de dédicaces qui aurait permis d'approcher les invités disparue. Un manque d'organisation certain dès l'entrée, une entracte beaucoup trop longue : voilà ce que je retiens de ce concert.
J'ai bien aimé la prestation de Gaëlle Solal, toujours vivante et pétillante sur scène comme celle de François Sciortino, le jeu impeccable et plein de sensibilité de Gabriel Bianco.
Mais pas du tout la façon de faire de Judicaël Perroy, pas un mot, même pas "Bonsoir" un Bach techniquement parfait mais long, long, long ........indigeste avec une entrée en scène et une sortie aussi neutre que rapide
ni le choix de pièces de Rémi Jousselme, il manquait à la fin la destruction de sa guitare si l'on voulait être cohérent, ni celle de Roland Dyens à peine audible et j'étais au bord de la scène, juste en face.
J'en reviens dubitatif et pourtant je m'attendais à mieux avec le plateau d'artistes présents.
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