Eulenstein, Karl (1802-1890-de)

Musique romantique (début du XIXe siècle - début du XXe siècle)
Le terme romantique désigne La musique, la peinture influencées par le romantisme qui, à l'origine, est un mouvement littéraire.
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ClassicGuitare
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Eulenstein, Karl (1802-1890-de)

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Karl Eulenstein (1802 - 1890)
Eulenstein, Karl.jpg
  • Biographie
Karl Eulenstein est né en 1802 à Heilbronn, fils du fabricant de savon Heinrich Georg Eulenstein (1776-1807) et de Johanna Christiane née Winzelburger (1779-1844). Son père meurt prématurément, il est alors confié en pension chez un artisan teinturier.
Il s’intéresse très tôt à la musique, apprend le violon et veut devenir musicien, mais son tuteur l’oblige à suivre un apprentissage dans une maison de commerce d’Heilbronn.
Là, il rencontre en 1820 Justinus Kerner jouant lui-même de la guimbarde, qui lui apporte son premier contact avec l’instrument et l’encouragea plus tard toute sa carrière par des lettres de recommandation.
Kerner consacre un poème à Eulenstein et lui procure un billet d’entrée au concert de guimbarde de Franz Koch, considéré comme le Maître de l’instrument.
Eulenstein consacre tout son temps libre au jeu de la guimbarde, modifie ses instruments et compose bientôt ses propres mélodies.

En 1821, il va à Lüneburg où il achève un apprentissage de pâtissier. Pendant son apprentissage, il partage fréquemment ses connaissances musicales au mieux avec son enseignant et joue aussi à Lüneburg son premier concert, lequel avec la réaction positive des auditeurs, l’encourage à revenir à Heilbronn l’été 1824 malgré sa volonté de refuser cette tournée de concerts.
Cette première tournée fut un échec, comme d’autres programmes de tournée dans le pays qu’il n’a pas pu concrétiser. Il a pu toutefois jouer pour le Prince de Hohenlohe, la margravine de Bade et la reine de Suède. Cette tournée ne lui a pas apporté suffisamment de moyens d’existence de sorte qu’il envisage de travailler comme pâtissier et s’installe à la fin de l’automne 1824 dans la ville de Stuttgart.

Contre toute attente, Eulenstein ne trouve pas d’emploi à Stuttgart, il s’engage alors de nouveau comme musicien. Grâce aux lettres de recommandations de Justinus Kerner, il joue devant Gustav Schwab, Ludwig Uhland, Wilhelm Hauff et bien d’autres personnalités, ce qui lui apporte rapidement et pour la première fois des revenus confortables et une bonne presse auprès des sociétés privées. Christian Ludwig Neuffer lui consacre le « poème à Eulenstein, musicien de la guimbarde ».
Après Tübingen, où il est accompagné à la guitare lors d’un concert de Friedrich Silcher, il va à Zürich et Lausanne où il apprend la guitare et la langue française. Fin 1825, Eulenstein va à Paris où il fait la connaissance du compositeur et harpiste Franz Stockhausen, il est remarqué par Gioacchino Rossini et Ferdinando Paër, ce qui le conduit vers la cour du roi de France.
Toutes ses prestations ne sont pas honorées, qui font que le musicien se retrouve fréquemment dans le besoin. En 1826, Eulenstein fait un voyage en Angleterre et donne un concert devant le roi d’Angleterre, enthousiasmé.

Après un court séjour dans sa ville natale Heilbronn, Eulenstein retourne à Londres en 1827, où il retrouve un peu d’attentions après une période difficile comme guitariste.
Il apparaît la première fois comme guitariste soliste en 1828 dans la ville thermale de Cheltenham avec Stockhausen dont sa femme suivait une cure.

Plus tard, il va à Bath où il rentre dans une période pendant laquelle il alterne entre tournées et professeur d’allemand et de guitare. A Bath, il écrit un livre sur la pratique de l’allemand ainsi qu’un précis de grammaire. Vers 1830, il est considéré comme le meilleur joueur de guimbarde de son époque. Il jouait jusqu’à 16 modèles de guimbarde différents, qu’il pouvait changer sans remarquer d’interruption dans son jeu, au travers duquel il atteignait une étendue de 4 octaves. La gazette » Literary » écrivait en 1833 : « C’est invraisemblable de trouver un successeur qui pourra offrir un jeu de la sorte »
Cependant, le jeu de la guimbarde affecte tellement sa dentition, qu’en 1833 la tournée de concert de guimbarde est devenue impossible, lorsque sa dernière dent supérieure en bon état se brisa.
A l’avenir, il ne pouvait que donner des représentations en tant que guitariste ou comme professeur.
Le 27 août 1834 à Lüneburg, il épouse Katharina Henriette Sophie Rose (née le 10 février 1806 à Lüneburg et décédée le 11 mai 1879 à Günzburg) avec laquelle il vécut encore quelques années à Bath, bien que la concurrence d’autres enseignants et l’absence de concerts de guimbarde ne permettaient pas des revenus suffisants.

A Bath, le couple a eu trois enfants : Théodor Ernst (1839), Eduard Carl (1841) et Franziska Henriette (1843)
L’année 1847, la famille s’installe à Heilbronn où Eulenstein se fait construire une maison en 1850. Il écrivit deux nouveaux livres sur le langage courant allemand et le langage courant anglais. Sa carrière musicale s’est interrompue à ce moment-là.
En 1858, la famille déménage vers Stuttgart, le couple s’installant plus tard à Günzburg. A la mort de sa femme, Eulenstein alla vivre chez sa fille à Celje autrefois ville autrichienne et aujourd’hui slovène, où il est décédé et enterré en 1890.

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Sources:
www.kb.dk/
Wikipedia.org
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ClassicGuitare
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Re: Eulenstein, Karl

Message par ClassicGuitare »

Je viens d'ajouter deux partitions et la bio, mais malheureusement je n'ai pas réussi a tout traduire trop complique pour moi l'allemand

si quelqu'un veux m'aider voici le texte source wikipedia
merci d'avance !

Eulenstein wurde als Sohn des Seifensieders Georg Heinrich Eulenstein (1776–1807) und der Johanna Christiane geb. Winzelburger (1779–1844) in Heilbronn geboren und nach dem frühen Tod des Vaters bei einem Färbermeister in Kost gegeben. Er interessierte sich früh für Musik, erlernte das Geigenspiel und wollte Musiker werden, wurde aber von seinem Vormund zu einer Lehre in einem Heilbronner Handelshaus bestimmt. Dort hat er um 1820 Justinus Kerner getroffen, der selbst Maultrommel spielte, Eulenstein in Kontakt mit dem Instrument brachte und ihn später durch Empfehlungsschreiben in seiner Laufbahn förderte. Kerner widmete Eulenstein ein Gedicht und verschaffte ihm eine Konzertkarte für ein Maultrommel-Konzert von Franz Koch, der als Meister des Instruments galt. Eulenstein übte unterdessen in seiner Freizeit selbst das Maultrommelspiel, modifizierte seine Instrumente und komponierte bald eigene Melodien.

1821 ging er nach Lüneburg, wo er eine Konditorlehre absolvierte. Während der Lehrzeit gab er sein musikalisches Können häufig in der Wirtschaft des Lehrherrn zum Besten und spielte in Lüneburg auch ein erstes Konzert, nach dessen positiver Resonanz er seine Heimreise nach Heilbronn im Sommer 1824 als Konzertreise bestreiten wollte. Diese erste Konzertreise scheiterte jedoch völlig, auch weitere Tourneepläne in der Heimat konnte er nicht verwirklichen. Er konnte zwar vor dem Fürsten von Hohenlohe, der badischen Markgräfin und der schwedischen Königin vorspielen, fand mit seiner Musik aber zunächst kein wirtschaftliches Auskommen, so dass er plante, fortan wieder als Konditor zu arbeiten, wofür er im Spätherbst 1824 nach Stuttgart ging.

Da Eulenstein in Stuttgart wider Erwarten keine Anstellung fand, verdingte er sich erneut als Musiker. Mit Empfehlungsbriefen von Justinus Kerner spielte er vor Gustav Schwab, Ludwig Uhland, Wilhelm Hauff und anderen Persönlichkeiten, die ihn ihrerseits weiter empfahlen, so dass er rasch mit zahlreichen Auftritten vor Privatgesellschaften ein gutes Einkommen und auch erstmals Pressebekanntheit erreichte. Christian Ludwig Neuffer widmete ihm das Gedicht An Eulenstein, Tonkünstler auf der Maultrommel.

Über Tübingen, wo er bei einem Konzert von Friedrich Silcher auf der Gitarre begleitet wurde, und Zürich kam er nach Lausanne, wo er das Gitarrenspiel und die französische Sprache erlernte. Ende 1825 kam Eulenstein nach Paris, wo er die Bekanntschaft mit dem Komponisten und Harfenisten Franz Stockhausen machte und die Aufmerksamkeit von Gioacchino Rossini und Ferdinando Paër erregte, wodurch er Zugang zum französischen Königshof erlangte. Nicht alle Auftritte wurden mit Geld honoriert, so dass der Musiker häufig von existenziellen Nöten bedroht war. 1826 reiste Eulenstein nach England und gab ein Konzert vor dem britischen König, das große Anerkennung fand.

Nach einem kurzen Aufenthalt in der Vaterstadt Heilbronn kehrte Eulenstein 1827 nach London zurück, wo er nach anfänglichen Schwierigkeiten und einer erneuten wirtschaftlich schweren Zeit auch als Gitarrist Aufmerksamkeit fand. Als Gitarrensolist trat er erstmals 1828 mit Stockhausen und dessen Frau während einer Kur im Badeort Cheltenham auf. Später zog er nach Bath, wo er sich in der Zeit zwischen Konzertreisen als Deutsch- und Gitarrenlehrer verdingte. Hier verfasste er auch ein deutsches Übungsbuch sowie ein Grammatikbuch. Um 1830 galt er als der beste Maultrommelspieler seiner Zeit. Er spielte bis zu 16 verschiedene Maultrommeln, die er ohne merkliche Unterbrechung des Spiels wechseln konnte, wodurch er einen Tonumfang von vier Oktaven erreichte. Die Literary Gazette schrieb 1833: „Es ist unwahrscheinlich, einen Nachfolger zu finden, welcher einen Vortrag in dieser Weise bieten wird.“

Das Spiel auf der Maultrommel zog jedoch seine Zähne dermaßen in Mitleidenschaft, dass ihm nach vielen früheren Zahnproblemen nach einer Konzertreise im Jahr 1833 das Maultrommelspiel vollends unmöglich wurde, nachdem sein letzter unversehrter Oberzahn abgebrochen war. Künftig konnte er nur noch als Gitarrist auftreten und sich als Lehrer verdingen. Am 27. August 1834 heiratete er in Lüneburg Katharina Henriette Sophie Rose (* 10. Februar 1806 in Lüneburg; † 11. Mai 1879 in Günzburg), mit der er noch einige Jahre in Bath lebte, wenngleich seine Einkünfte dort zeitweise aufgrund der Konkurrenz anderer Lehrer und der fehlenden Möglichkeit für Maultrommel-Konzerte nur spärlich waren. In Bath wurden dem Paar drei Kinder geboren: Theodor Ernst (* 1839), Eduard Carl (* 1841) und Franziska Henriette (* 1843).

Im Jahr 1847 zog die Familie nach Heilbronn, wo sich Eulenstein 1850 an der unteren Allee ein Wohnhaus erbauen ließ. Hier schrieb er zwei weitere Bücher über deutsche und englische Umgangssprache. Seine musikalische Karriere setzte er jedoch nicht mehr fort. 1858 zog die Familie nach Stuttgart, später waren die Eheleute in Günzburg ansässig und nach dem Tod der Ehefrau lebte Eulenstein zuletzt bei seiner Tochter im damals österreichischen und heute slowenischen Celje, wo er 1890 verstarb und begraben wurde.
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didier
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Re: Eulenstein, Karl

Message par didier »

pâtisseries et musique , on dirait un aïeul à Alain :mrgreen:
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Gazalain
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Re: Eulenstein, Karl

Message par Gazalain »

A mettre à sa place
Karl Eulenstein est né en 1802 à Heilbronn, fils du fabricant de savon Heinrich Georg Eulenstein (1776-1807) et de Johanna Christiane née Winzelburger (1779-1844). Son père meurt prématurément, il est alors confié en pension chez un artisan teinturier.
Il s’intéresse très tôt à la musique, apprend le violon et veut devenir musicien, mais son tuteur l’oblige à suivre un apprentissage dans une maison de commerce d’Heilbronn.
Là, il rencontre en 1820 Justinus Kerner jouant lui-même de la guimbarde, qui lui apporte son premier contact avec l’instrument et l’encouragea plus tard toute sa carrière par des lettres de recommandation.
Kerner consacre un poème à Eulenstein et lui procure un billet d’entrée au concert de guimbarde de Franz Koch, considéré comme le Maître de l’instrument.
Eulenstein consacre tout son temps libre au jeu de la guimbarde, modifie ses instruments et compose bientôt ses propres mélodies.
En 1821, il va à Lüneburg où il achève un apprentissage de pâtissier. Pendant son apprentissage, il partage fréquemment ses connaissances musicales au mieux avec son enseignant et joue aussi à Lüneburg son premier concert, lequel avec la réaction positive des auditeurs, l’encourage à revenir à Heilbronn l’été 1824 malgré sa volonté de refuser cette tournée de concerts.
Cette première tournée fut un échec, comme d’autres programmes de tournée dans le pays qu’il n’a pas pu concrétiser. Il a pu toutefois jouer pour le Prince de Hohenlohe, la margravine de Bade et la reine de Suède. Cette tournée ne lui a pas apporté suffisamment de moyens d’existence de sorte qu’il envisage de travailler comme pâtissier et s’installe à la fin de l’automne 1824 dans la ville de Stuttgart.
Contre toute attente, Eulenstein ne trouve pas d’emploi à Stuttgart, il s’engage alors de nouveau comme musicien. Grâce aux lettres de recommandations de Justinus Kerner, il joue devant Gustav Schwab, Ludwig Uhland, Wilhelm Hauff et bien d’autres personnalités, ce qui lui apporte rapidement et pour la première fois des revenus confortables et une bonne presse auprès des sociétés privées. Christian Ludwig Neuffer lui consacre le « poème à Eulenstein, musicien de la guimbarde ».
Après Tübingen, où il est accompagné à la guitare lors d’un concert de Friedrich Silcher, il va à Zürich et Lausanne où il apprend la guitare et la langue française. Fin 1825, Eulenstein va à Paris où il fait la connaissance du compositeur et harpiste Franz Stockhausen, il est remarqué par Gioacchino Rossini et Ferdinando Paër, ce qui le conduit vers la cour du roi de France.
Toutes ses prestations ne sont pas honorées, qui font que le musicien se retrouve fréquemment dans le besoin. En 1826, Eulenstein fait un voyage en Angleterre et donne un concert devant le roi d’Angleterre, enthousiasmé.
Après un court séjour dans sa ville natale Heilbronn, Eulenstein retourne à Londres en 1827, où il retrouve un peu d’attentions après une période difficile comme guitariste.
Il apparaît la première fois comme guitariste soliste en 1828 dans la ville thermale de Cheltenham avec Stockhausen dont sa femme suivait une cure.
Plus tard, il va à Bath où il rentre dans une période pendant laquelle il alterne entre tournées et professeur d’allemand et de guitare. A Bath, il écrit un livre sur la pratique de l’allemand ainsi qu’un précis de grammaire. Vers 1830, il est considéré comme le meilleur joueur de guimbarde de son époque. Il jouait jusqu’à 16 modèles de guimbarde différents, qu’il pouvait changer sans remarquer d’interruption dans son jeu, au travers duquel il atteignait une étendue de 4 octaves. La gazette » Literary » écrivait en 1833 : « C’est invraisemblable de trouver un successeur qui pourra offrir un jeu de la sorte »
Cependant, le jeu de la guimbarde affecte tellement sa dentition, qu’en 1833 la tournée de concert de guimbarde est devenue impossible, lorsque sa dernière dent supérieure en bon état se brisa.
A l’avenir, il ne pouvait que donner des représentations en tant que guitariste ou comme professeur.
Le 27 août 1834 à Lüneburg, il épouse Katharina Henriette Sophie Rose (née le 10 février 1806 à Lüneburg et décédée le 11 mai 1879 à Günzburg) avec laquelle il vécut encore quelques années à Bath, bien que la concurrence d’autres enseignants et l’absence de concerts de guimbarde ne permettaient pas des revenus suffisants.
A Bath, le couple a eu trois enfants : Théodor Ernst (1839), Eduard Carl (1841) et Franziska Henriette (1843)
L’année 1847, la famille s’installe à Heilbronn où Eulenstein se fait construire une maison en 1850. Il écrivit deux nouveaux livres sur le langage courant allemand et le langage courant anglais. Sa carrière musicale s’est interrompue à ce moment-là.
En 1858, la famille déménage vers Stuttgart, le couple s’installant plus tard à Günzburg. A la mort de sa femme, Eulenstein alla vivre chez sa fille à Celje autrefois ville autrichienne et aujourd’hui slovène, où il est décédé et enterré en 1890.
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Re: Eulenstein, Karl

Message par Gazalain »

didier a écrit :pâtisseries et musique , on dirait un aïeul à Alain :mrgreen:
Avec le côté teuton, ça me ressemble, mais surtout ce qui est dans les gènes, ce sont les périodes de disette aussi nombreuses chez lui que chez moi
Eulenstein est mon ancêtre. :mrgreen:
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Re: Eulenstein, Karl

Message par ClassicGuitare »

Merci infiniment Gazalain, quel beau travail !
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Re: Eulenstein, Karl

Message par Gazalain »

Paulo da Fontoura a écrit :Merci infiniment Gazalain, quel beau travail !
Service ! (comme on dit en Alsace). Je lis, écrit et parle un petit peu allemand et beaucoup plus bavarois, c'est comme ma deuxième langue maternelle. :p
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Re: Eulenstein, Karl (1802-1890-de)

Message par PRIVET Francis »

Paulo,
Le 1er lien mène à Eggers :mrgreen:
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Re: Eulenstein, Karl (1802-1890-de)

Message par ClassicGuitare »

Merci Francis
j'ai corrigé le lien
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