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Bolero – David del Castillo

Posté : mar. déc. 20, 2022 9:32 am
par Marieh
:cool:
BoleroDavid del Castillo (? - 1928)
David Jacques:

Re: Bolero – David del Castillo

Posté : mar. déc. 20, 2022 10:32 am
par Edgar Blanc
Super. Je ne connaissais pas du tout ce compositeur (un lien avec Michel ? - "Del Castillo" doit être un nom très répandu j'imagine)

Re: Bolero – David del Castillo

Posté : mar. déc. 20, 2022 6:32 pm
par Daniel d'Arles
J'aime, imprimé et déjà sur le pupitre.

Re: Bolero – David del Castillo

Posté : mer. déc. 21, 2022 11:38 am
par Marieh
Edgar Blanc a écrit : mar. déc. 20, 2022 10:32 am (un lien avec Michel ? - "Del Castillo" doit être un nom très répandu j'imagine)
Je ne sais pas. En faisant un tour sur Wikipedia, j’apprends qu'il est l'auteur (Michel pas David) d'un roman intitulé "La Guitare".
Coïncidence ?

Re: Bolero – David del Castillo

Posté : mer. déc. 21, 2022 11:43 am
par Marieh
Daniel d'Arles a écrit : mar. déc. 20, 2022 6:32 pm J'aime, imprimé et déjà sur le pupitre.
Idem.
Dommage, David Jacques ne joue pas les rasgueados et écourte les silences avant les deux accords de la fin.

Re: Bolero – David del Castillo

Posté : mer. déc. 21, 2022 5:20 pm
par Edgar Blanc
Marieh a écrit : mer. déc. 21, 2022 11:38 am Je ne sais pas. En faisant un tour sur Wikipedia, j’apprends qu'il est l'auteur (Michel pas David) d'un roman intitulé "La Guitare".
Coïncidence ?
Ah oui, je l'ai lu ce roman, c'est même le premier que j'ai lu de Michel. C'était il y a bien des années. À mon souvenir ça raconte l'histoire d'un homme riche, aigri et reclus qui aime juste la guitare. Il est surtout connu pour son roman autobiographique "Tanguy" (qui n'a rien à voir avec le film bien connu) ; il raconte son arrivée dans les camps de concentration français pour les espagnols à l'époque (peut-être ai-je de la famille qui y est passée aussi, maintenant que j'y pense), puis les camps encore d'un autre genre en Pologne (enfin, "d'un autre genre"... il y avait quand même un certain nombre de similitudes - je me souviens que les camps français l'ont bien davantage traumatisé).

Apparemment il a pris le nom de sa mère, Michel, étant fils abandonné. Il est toujours vivant aujourd'hui. En tapant les deux noms dans Google je ne trouve pas de trace de lien de parenté entre Michel et David.

Ah, j'avais lu aussi de lui "Le colleur d'affiches", roman génialissime qui m'a beaucoup marqué et montre la complexité de la guerre civile espagnole. Je me souviens d'une amie venant me rendre visite ; je lui tends ce livre et lui dis "lis la fin, le dernier chapitre, tu vas voir c'est poignant" ; elle l'a lu et s'est mise à pleurer.

J'adore faire pleurer les filles, je suis impitoyable. Et Michel est un écrivain qui vaut le détour, donc ("La Guitare", ça ne m'a pas beaucoup marqué).